SAM CLAFLIN + PATRON & ATTIRANCE

+ Connor a vécu avec sa mère durant les quatre premières années de sa vie. Elle a gardé son nourrisson et elle s'est séparée de son petit ami et père de Connor.+ Elle était droguée et elle est décédée chez elle, avec Connor.+ Son père l'a récupéré. C'est sans doute mieux pour Connor, mais il se montre froid et distant avec son fils.+ Il ne lui donne aucune marque d'affection.+ Son père est riche et Connor se fait éduquer par une nourrice que son père paye énormément, sans doute pour cacher le fait qu'il s'envoie en l'air avec elle.+ Connor ne sera jamais proche de son père, toutefois il ne le remerciera jamais assez de l'avoir pris chez lui.+ Connor est distant et parle peu à son paternel, toutefois il s'imprègne de ses conseils pour réussir dans la vie.+ Connor est à l'image de son père quand il grandit. Il devient froid avec les autres.+ On le pense souvent comme hautain et supérieur.+ Connor obtient toujours ce qu'il désire, que cela soit les femmes ou ses études etc.+ Quand il a une idée en tête il ne l'a pas ailleurs.+ Connor fait croire qu'il n'a pas de coeur.+ Il a sa propre boite, à son nom&est avocat. Il a d'ailleurs de nombreux avocats qui travaillent pour lui.+ Il est fasciné  par une certaine Lou Penelope Grant ...

Je suis stressée comme chaque fois que je dois me rendre dans son bureau. Il est mon patron. Il n'est pas commode, mais je travaille plutôt bien. Je suis discrète, mais je suis efficace. J'espère qu'il l'a remarqué … Comme toujours, j'ai les jambes flageolantes quand je dois aller le voir. Nous serons seuls dans son bureau, sans secrétaire, sans témoin. Il y a une sorte d'attirance entre nous. Du moins c'est ce que je ressens lorsque je suis seule avec lui. Il l'impressionne, il m'intrigue. C'est étrange … Je combats la nuit des malfrats et mon patron me fait peur. *Un peu de courage Lou*, je me souffle alors à moi-même. « Mademoiselle Grant, vous pouvez entrer. » Me dit alors sa secrétaire. Je pousse alors la lourde porte et je m'engouffre dans son bureau. Il est en train d'écrire, il est concentré, on dirait qu'il ne sait même pas que je suis ici, debout, penaude, devant lui. Je me racle alors la gorge et il daigne me regarder. « Prenez place. » Il me dit alors, cérémonieux. Il ne pose pas un regard sur moi, quand je prends place devant lui, sur l'un des fauteuils de cuir blanc. « Mademoiselle Grant. » Son regard est soudainement emprunt d'une certaine malice. « Vous vous demandez sans doute pourquoi je vous ai fait venir ? » Je suis crispée. Je ne réponds pas, je me suis perdue dans ses yeux bleus. « Vous brillez dans tout ce que vous entreprenez on dirait. » Il semble satisfait par mon travail. Je respire de nouveau, toujours happé par son regard. « Je voudrais vous confier une affaire importante … Pensez-vous que vous serez apte à vous en occuper ? » Mes mains se serrent sur mes cuisses quand je réponds à peu près : « Beuh … Bien sûr. Oui … Je veux dire oui. Bien entendu. » Un sourire s'inscrit sur mon visage quand il se lève pour se mettre face à moi, s'appuyant sur le rebord de son bureau. Il est beau. Vraiment beau. « Je voudrais vous faire confiance pour cette affaire. Pensez-vous que je le peux ? » Il s'assoit finalement dans son second canapé de cuir blanc, nos genoux se frôlent. « Oui. Je … Je suis prête. » Il approche son visage du mien, nos nez se touchent et il me souffle alors : « Tant mieux. Ne me décevez pas mademoiselle Grant. » Puis, il se recule après un instant et me gratifie d'un sourire. « Bien. Affaire conclut alors ! Vous pouvez retourner dans votre bureau Lou. » Il retourne à ses écrits et moi j'essaye de sortir de son bureau sans tomber.